08 avril 2014
L'égo portait malheur
- Il ne se passe plus guère une heure sans qu’un selfie, cet égoportait imputable à la fatuité humaine, fasse le tour du monde pour toutes sortes de mauvaises raisons.
(Jean Dion, dans Le Devoir du 5 avril 2014.) - À un moment donné, David Ortiz a élu de prendre un égoportait en sa compagnie.
Il s'agit bien sûr d'un égoportrait.
Qu'il manque une malheureuse petite lettre une fois, c'est une coquille; mais deux fois? C'est un coup du sort.
Line Gingras
Traductrice agréée (OTTIAQ, ATIO)
Québec
« Le compte est bon » : http://www.ledevoir.com/sports/actualites-sportives/40473...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
23:44 Publié dans On ne se relit jamais trop | Lien permanent | Tags : journalisme, presse, médias