07 septembre 2005
J'ai marché dans Venise
J'ai marché dans Venise embuée de lumière
J'ai suivi le chat noir qui veillait en rêvant
Dans les rues montueuses caressées des vents
Où frémissait l'accent des heures singulières
Venise dérobée vous épiant sous les ponts
Dans l'ombre hallucinante des soieries subtiles
Québec
J'ai suivi le chat noir qui veillait en rêvant
Dans les rues montueuses caressées des vents
Où frémissait l'accent des heures singulières
J'ai contemplé l'eau morte où remuaient les pierres
Au gré du silence et des voix se balançant
Graciles danseuses portant le masque blanc
Des nuits indéfinies que recouvre le lierre
Venise dérobée vous épiant sous les ponts
Dans l'ombre hallucinante des soieries subtiles
Frêle et troublante Venise aux paupières tendres
Aux mondes endormis où l'on voudrait descendre
Tenant serré la main de crânes enfants blonds
Québec
Les canaux de Venise : http://www.campiello-venise.com/visite_rapide/suites_venitiennes/les_canaux_de_venise_1.htm
17:45 Publié dans Ah! Venise | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Venise, poème, poésie
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