22 juin 2009
Tout n'est pas permis
- Permettre de ficher quiconque se retrouve en détention va nettement trop loin à ses yeux. Il note qu'il s'agit d'un « pouvoir extraordinaire » qui n'est permis, pour l'instant, que dans les cas de terrorisme. L'élargir comme le propose le gouvernement pourrait aller jusqu'à permettre, soutient-il, de ficher une personne arrêtée en état d'ébriété. (Manon Cornellier.)
J'essaierais d'éviter la répétition :
Permettre de ficher quiconque se retrouve en détention va nettement trop loin à ses yeux. Il note qu'il s'agit d'un « pouvoir extraordinaire » qui n'est accordé, pour l'instant, que dans les cas de terrorisme. L'élargir comme le propose le gouvernement pourrait aller jusqu'à autoriser, soutient-il, à ficher une personne arrêtée en état d'ébriété.
Line Gingras
Québec
« Encore une petite vite » : http://www.ledevoir.com/2009/05/27/252313.html
02:48 Publié dans On ne se relit jamais trop | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias