28 décembre 2009
Frustré comme une auto
- Mais quand on marche, on n'est pas frustré comme une auto coincée dans un embouteillage ou impossible à garer. (Louis-Gilles Francœur, dans Le Devoir du 22 décembre 2009.)
La vie quotidienne étant plus terre à terre qu'une aventure de Choupette la coccinelle, il vaut mieux attribuer un sentiment de frustration à un être humain plutôt qu'à une voiture. On aurait pu écrire, par exemple :
Mais quand on marche, on n'est pas frustré comme un automobiliste coincé dans un embouteillage ou n'arrivant pas à garer sa voiture.
Mais quand on marche, on n'est pas frustré comme un automobiliste coincé dans un embouteillage ou incapable de garer sa voiture.
Line Gingras
Québec
« La vie tranquille à vélo » : http://www.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-environnement/279916/la-vie-tranquille-a-velo
04:22 Publié dans On ne se relit jamais trop | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias