20 juillet 2010
On finit à avoir l'air...
- Or, et voilà ce qui est marrant en l'occurrence, quand on parle beaucoup, on finit inéluctablement par proférer des âneries. Ou, accessoirement, à avoir l'air d'en avoir dit parce qu'on a été mal cité. (Jean Dion, dans Le Devoir du 20 juillet 2010.)
... on finit inéluctablement par proférer des âneries. Ou, accessoirement, par avoir l'air d'en avoir dit parce qu'on a été mal cité.
Line Gingras
Québec
« Et puis euh – Dans un sens » : http://www.ledevoir.com/sports/actualites-sportives/292883/et-puis-euh-dans-un-sens
04:12 Publié dans On ne se relit jamais trop | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias