04 octobre 2010
Si, si, si...
- Un conseiller de Paul Martin m'avait même révélé à l'époque que, si les prises de position passées de Michaëlle Jean avait été connue, elle n'aurait jamais mis les pieds à Rideau Hall.
(Vincent Marissal, dans La Presse du 2 octobre 2010.)
Le grand secret de ce mystérieux conseiller, d'après la construction de la phrase, ne portait pas précisément sur Michaëlle Jean ni sur sa position à l'époque, mais sur ses prises de position passées : ah, si elles avaient été connues...
Line Gingras
Québec
« Michaëlle Jean part, les deux solitudes restent » : http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/vincent-marissal/201010/02/01-4328908-michaelle-jean-part-les-deux-solitudes-restent.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_vincent-marissal_3280_section_POS1
01:13 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias