30 novembre 2010
Des voyageurs que l'on peut imaginés coincés
- ... des voyageurs canadiens, que l'on peut aussi imaginés coincés à l'étranger...
(Marie-Andrée Chouinard, dans Le Devoir du 29 novembre 2010.)
L'auxiliaire avoir est suivi d'un participe passé, mais ce n'est pas le cas du verbe pouvoir, qui appelle l'infinitif :
Des voyageurs que l'on a imaginés coincés à l'étranger.
Des voyageurs que l'on peut voir coincés à l'étranger.
... des voyageurs canadiens, que l'on peut aussi imaginer coincés à l'étranger...
Line Gingras
Québec
« Espace aérien – Les béni-oui-oui » : http://www.ledevoir.com/international/actualites-internationales/311933/espace-aerien-les-beni-oui-oui
01:31 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias