14 janvier 2011
À leur frais
- Dans l'attente du plan d'urbanisme du gouvernement, les propriétaires privés n'osent pas démarrer la reconstruction à leur frais.
(Lisa-Marie Gervais, dans Le Devoir du 12 janvier 2011.)
Le Multidictionnaire et le Hanse-Blampain font observer que le nom frais, appliqué aux dépenses, s'emploie toujours au pluriel; je trouve confirmation de cet avis dans le Petit Robert, le Lexis et le Trésor de la langue française informatisé. Il fallait écrire :
Dans l'attente du plan d'urbanisme du gouvernement, les propriétaires privés n'osent pas démarrer la reconstruction à leurs frais.
* * * * *
- Mais le réel problème vient davantage du manque de coordination sur le terrain entre les organisations internationales et les ONG, qui n'ont pas toute la même expérience.
Je crois comprendre que toutes ces organisations n'ont pas la même expérience, qu'elles n'ont pas toutes la même expérience :
Mais le réel problème vient davantage du manque de coordination sur le terrain entre les organisations internationales et les ONG, qui n'ont pas toutes la même expérience.
Line Gingras
Québec
« Tan an sispann an Ayiti – Tout reste à faire, un an après » : http://www.ledevoir.com/international/amerique-latine/314520/tan-an-sispann-an-ayiti-tout-reste-a-faire-un-an-apres
01:43 Publié dans Cultiver le doute, On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias