27 octobre 2011
Et s'il n'en reste qu'un...
- Inquiets pour leur poste, des députés du Parti québécois « de la cuvée de 2008 » souhaiteraient que la chef péquiste, Pauline Marois, quitte son poste.
(Antoine Robitaille, dans Le Devoir du 27 octobre 2011.)
Inquiets pour leur poste, des députés du Parti québécois « de la cuvée de 2008 » souhaiteraient que la chef péquiste, Pauline Marois, quitte le sien.
Inquiets pour leur poste, des députés du Parti québécois « de la cuvée de 2008 » souhaiteraient que la chef péquiste, Pauline Marois, démissionne.
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- Ceux qui se sont exprimés se sont montrés fidèles à leur chef : « Serai-je le seul, je le serais quand même, mais on est beaucoup plus nombreux que ça », avait déclaré Yves-François Blanchet, député de Drummond.
Je ne crois pas que monsieur Blanchet se demande s'il restera le seul fidèle :
Ceux qui se sont exprimés se sont montrés fidèles à leur chef : « Serais-je le seul, je le serais quand même, mais on est beaucoup plus nombreux que ça », avait déclaré Yves-François Blanchet, député de Drummond.
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- Le député de Verchère, Stéphane Bergeron, affirmait que [...]
Monsieur Bergeron est député de Verchères.
Line Gingras
Québec
« Devant la grogne, Marois s'accroche » : http://www.ledevoir.com/politique/quebec/334598/devant-la...
19:16 Publié dans Cultiver le doute, On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias