26 novembre 2011
Comparer ses malheurs avec les indignés
- Le peuple, malgré ses outrances verbales, ses raccourcis qui l'amènent à comparer ses malheurs avec les indignés arabes, les sans-abri de Wall Street ou les réfugiés de toutes les misères, sait très bien l'envie qu'il suscite partout [...]
(Denise Bombardier, dans Le Devoir du 26 novembre 2011.)
On ne compare pas ses malheurs avec des personnes, mais avec les malheurs d'autres personnes :
Le peuple, malgré ses outrances verbales, ses raccourcis qui l'amènent à comparer ses malheurs avec ceux des indignés arabes, des sans-abri de Wall Street ou des réfugiés de toutes les misères, sait très bien l'envie qu'il suscite partout [...]
Line Gingras
Québec
« Lunettes roses » : http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/336...
23:55 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias