21 janvier 2012
Quatre petites pages
- Chaque fois que je relis cette nouvelle, ces quatre petites pages initiatiques qui ouvrent le dernier recueil de Suzanne Jacob et lui donne son titre – Un dé en bois de chêne –, chaque fois elle me parle différemment de la mort.
(Pierre Foglia, dans La Presse du 5 janvier 2012.)
[...] ces quatre petites pages initiatiques qui ouvrent le dernier recueil de Suzanne Jacob et lui donnent son titre [...]
Line Gingras
Québec
« Superstition » : http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/pierre-foglia/2012...
07:13 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias