24 février 2012
Il me remplacera à cette place*
- J’ai bien expliqué que j’agissais, là, comme personnalité indépendante, non rémunérée, que je ne dirigeais pas le comité ni n’en était le porte-parole et que je n’étais pas lié par ses résultats.
(Jean-François Lisée dans son blogue, 23 février 2012.)
... je ne dirigeais pas le comité ni n'en étais le porte-parole...
- J'ai fait valoir que je trouverais normal que Liza Frulla, par exemple, soit appelée par les Libéraux à faire partie d’un comité de sage [...]
Il y a forcément plusieurs sages dans un comité de sages.
- La pression que fait subir le gouvernement conservateur sur les budgets radio-canadien induit-elle aussi une prudence plus tatillonne?
... sur les budgets radio-canadiens...
- Bonne chance aussi au souverainiste qui me remplacera à cette place.
Le contexte étant très clair, il suffisait d'écrire à mon avis :
Bonne chance aussi au souverainiste qui me remplacera.
Line Gingras
Québec
* Le 25 février à 21 h 25, je constate que les quatre fautes signalées ont été corrigées.
« Pourquoi je ne suis pas au TJ ce soir » : http://www2.lactualite.com/jean-francois-lisee/pourquoi-j...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
01:28 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias