28 avril 2012
L'étudiant en médecine, on leur court après
- Pour l'étudiant en médecine, la formation, même à deux fois le prix actuel de 2200 $ par année, est une aubaine. Ce n'est pas pour rien que les banques leur courent après dès leur première année de médecine...
(Yves Boisvert, dans La Presse du 28 avril 2012.)
« Les étudiants savent compter », écrit monsieur Boisvert (ou le pupitreur). Tant mieux, mais faisons d'abord la distinction entre un singulier et un pluriel :
Pour les étudiants en médecine, la formation, même à deux fois le prix actuel de 2200 $ par année, est une aubaine. Ce n'est pas pour rien que les banques leur courent après dès leur première année de médecine...
Line Gingras
Québec
« Les étudiants savent compter » : http://www.cyberpresse.ca/debats/chroniques/yves-boisvert...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
23:08 Publié dans On ne se relit jamais trop, On ne se relit jamais trop, Questions de langue, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias, langue française, journalisme, presse, médias