13 décembre 2012
Il n'y a pas de contrat de signer
- En campagne électorale, les conservateurs s’en sont tenus à leur chiffre original, affirmant, en plus, qu’ils ne pouvaient résilier le contrat sans en payer le prix. Ce qui était faux. Il n’y a toujours pas de contrat de signer à ce jour.
(Manon Cornellier, dans Le Devoir du 12 décembre 2012.)
Placé devant un verbe, de n'appelle pas toujours l'infinitif :
Il n'y a toujours pas de contrat de conclu [et non pas de conclure] à ce jour.
En campagne électorale, les conservateurs s’en sont tenus à leur chiffre original, affirmant, en plus, qu’ils ne pouvaient résilier le contrat sans en payer le prix. Ce qui était faux. Il n’y a toujours pas de contrat de signé à ce jour.
Line Gingras
Traductrice agréée (OTTIAQ, ATIO)
Québec
« Le chasseur devenu bateau » : http://www.ledevoir.com/politique/canada/366183/le-chasse...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
01:59 Publié dans Cultiver le doute, On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias