18 janvier 2013
Paraître ou ne pas paraître
- S’en laver les mains ne me paraît pas une option bien douteuse, parce que pendant que nous allons nous en laver les mains, d’autres, plus avides, vont salir les leurs en se remplissant les poches. Ce serait une grande défaite.
(Lise Payette, dans Le Devoir du 18 janvier 2013.)
On voulait sûrement dire le contraire :
S’en laver les mains me paraît une option bien douteuse, parce que pendant que nous allons nous en laver les mains, d’autres, plus avides, vont salir les leurs en se remplissant les poches. Ce serait une grande défaite.
Line Gingras
Traductrice agréée (OTTIAQ, ATIO)
Québec
« Hé citoyen, le hockey peut attendre » : http://www.ledevoir.com/politique/quebec/368667/he-citoye...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
06:48 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias