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19 février 2013

Un employeur et ses employeurs

  • Un employeur, quel qu’il soit, peut faire la démonstration de la nécessité du bilinguisme pour ses employeurs, a fait valoir Jean-François Lisée, ce que « Camille Laurin, dans sa grande sagesse, a mis dans la loi 101 ».
    (Robert Dutrisac, dans Le Devoir du 19 février 2013.)

On a sûrement voulu dire :

Un employeur, quel qu’il soit, peut faire la démonstration de la nécessité du bilinguisme pour ses employés*, a fait valoir Jean-François Lisée, ce que « Camille Laurin, dans sa grande sagesse, a mis dans la loi 101 ».

Line Gingras
Traductrice agréée (OTTIAQ, ATIO)
Québec

* Le 24 février à 19 h 15, je vois que la correction a été apportée.

« Lisée défend son ouverture envers les anglophones » : http://www.ledevoir.com/politique/quebec/371291/lisee-def...

Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.