22 mai 2013
Journalisme et journaliste, vivants ou morts
- Un journalisme* peut repiquer dans un communiqué les déclarations d’un porte-parole officiel tout en contrebalançant avec des contre-positions.
(Stéphane Baillargeon, dans Le Devoir du 21 mai 2013.)
Un journaliste...
- [...] la professeure Nadège Broustau, rare spécialiste québécoise de cet échange complexe entre ces amis ennemis vivants* en symbiose.
Nous n'avons pas affaire ici au contraire de morts, mais, dans le contexte, à un synonyme de se trouvant. S'il était question d'animaux ou de végétaux, on parlerait d'espèces vivant [et non pas vivantes] en symbiose.
Line Gingras
Traductrice agréée (OTTIAQ, ATIO)
Québec
* Le 22 mai à 13 h 5, je vois que les deux fautes ont été corrigées.
« Portrait du reporter en baratteur » : http://www.ledevoir.com/societe/medias/378641/portrait-du...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
06:18 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias