24 janvier 2014
Victime
- Il apparaît surtout comme un homme qui n’a pas une once d’humilité, alors qu’il en faut beaucoup pour accepter de se mettre au service d’une population fragilisée à travers le temps par les coups reçus et le dénigrement dont il n’a jamais cessé d’être victime.
(Lise Payette, dans Le Devoir du 17 janvier 2014.)
C'est la population, et non pas un homme (Philippe Couillard) ni le temps, qui n'a jamais cessé d'être victime de dénigrement :
Il apparaît surtout comme un homme qui n’a pas une once d’humilité, alors qu’il en faut beaucoup pour accepter de se mettre au service d’une population fragilisée à travers le temps par les coups reçus et le dénigrement dont elle n’a jamais cessé d’être victime.
Line Gingras
Traductrice agréée (OTTIAQ, ATIO)
Québec
« Chausser les souliers de Robert Bourassa… » : http://www.ledevoir.com/politique/quebec/397468/chausser-...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
23:52 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias