16 septembre 2014
Gardiennage de la démocratie et de la surveillance
- Devant la commission d’enquête, elle [l'idée qu'il faut plus de transparence] est d’ailleurs appuyée par la Fédération professionnelle des journalistes du Québec, pour des raisons évidentes de gardiennage de la démocratie et de la surveillance du pouvoir [...]
(Fabien Deglise, dans Le Devoir du 8 septembre 2014.)
Surveillance ne se raccroche pas à gardiennage (gardiennage de la surveillance, cela n'a pas beaucoup de sens), mais à raisons :
Devant la commission d’enquête, elle est d’ailleurs appuyée par la Fédération professionnelle des journalistes du Québec, pour des raisons évidentes de gardiennage de la démocratie et de* surveillance du pouvoir [...]
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[...] qui dénoncent depuis des mois le manque de qualité, de précision et de rigueurs des informations qu’il contient.
Ne confondons pas la rigueur des informations et les rigueurs de l'hiver :
[...] qui dénoncent depuis des mois le manque de qualité, de précision et de rigueur* des informations qu’il contient.
Line Gingras
Traductrice agréée (OTTIAQ, ATIO)
Québec
* Le 21 septembre à 21 h, je vois que la correction a été apportée.
« La grande imposture » : http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/417...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
23:47 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias