09 décembre 2014
Trop ou trop peu?
- En même temps, on le voit de plus en plus, les infractions à connotation psychiatrique mettent à rude épreuve tant la police que le système judiciaire. Encore aujourd’hui, trop de procureurs et de juges manifestent une compréhension de cette criminalité. On en est encore à la notion désuète du discernement entre « le bien et le mal ».
(Jean-Claude Leclerc, dans Le Devoir du 8 décembre 2014.)
D'après le contexte, je crois comprendre que les procureurs et les juges sont trop peu nombreux à manifester la compréhension voulue :
En même temps, on le voit de plus en plus, les infractions à connotation psychiatrique mettent à rude épreuve tant la police que le système judiciaire. Encore aujourd’hui, trop peu de procureurs et de juges manifestent une compréhension de cette criminalité. On en est encore à la notion désuète du discernement entre « le bien et le mal ».
En même temps, on le voit de plus en plus, les infractions à connotation psychiatrique mettent à rude épreuve tant la police que le système judiciaire. Encore aujourd’hui, trop de procureurs et de juges manifestent une mauvaise compréhension de cette criminalité. On en est encore à la notion désuète du discernement entre « le bien et le mal ».
Line Gingras
Traductrice agréée (OTTIAQ, ATIO)
Pigiste
Québec
« Que fera une autre femme en Cour suprême? » : http://www.ledevoir.com/societe/ethique-et-religion/42607...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
02:47 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias