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22 mars 2014

Branle le bas de combat

  • En mettant à la porte des milliers de personnes, dont 4500 employés des commissions scolaires, vous créerez un « branle le bas de combat » au sein de l’administration publique, a fait valoir Mme Marois.
    (Robert Dutrisac, Guillaume Bourgault-Côté et Marco Bélair-Cirino, dans Le Devoir du 21 mars 2014.)

Le bas de combat serait-il un signe ostentatoire? une sorte de drapeau?

Madame Marois a sans doute parlé – ou voulu parler – d'un branle-bas de combat.

Line Gingras
Traductrice agréée (OTTIAQ, ATIO)
Québec

« Marois et Couillard croisent le fer » : http://www.ledevoir.com/politique/quebec/403290/d

Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.

21 mars 2014

Elles

  • Elles savent cependant qu’elles doivent parler poliment, ne jamais perdre le contrôle de leur calme, même si on les insulte sans sourciller.
    (Lise Payette, dans Le Devoir du 21 mars 2014.)

Elles savent cependant qu’elles doivent parler poliment, ne jamais perdre le contrôle de leur calme, même si on les insulte sans sourciller.

  • Françoise David, sous ses dehors distingués, est une sorte de chat de gouttière très bien élevé, mais avec des griffes qu’elles gardent rentrées autant qu’elle peut.

Françoise David, sous ses dehors distingués, est une sorte de chat de gouttière très bien élevé, mais avec des griffes qu’elle garde rentrées autant qu’elle peut.

Line Gingras
Traductrice agréée (OTTIAQ, ATIO)
Québec

« Alors, ce fameux débat? » : http://www.ledevoir.com/politique/quebec/403250/alors-ce-...

Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.

18 mars 2014

Des questions et des réponses

  • La magnifique profession de reporter consiste pour l’essentiel à poser la même question de 36 façons différentes afin d’obtenir une réponse satisfaisante, mais l’exercice est fréquemment voué à l’échec.

    Cela dit, même si les réponses ne s’avèrent pas satisfaisantes du fait qu’elles sont adressées à quelqu’un qui n’a rien de particulier à dire, on les publie quand même parce qu’il faut bien nourrir cette bête qu’est l’information.
    (Jean Dion, dans Le Devoir du 18 mars 2014.)

Il me semble que ce ne sont pas les réponses qui sont adressées à quelqu’un qui n’a rien de particulier à dire (en l'occurrence une vedette du sport), mais plutôt les questions :

La magnifique profession de reporter consiste pour l’essentiel à poser la même question de 36 façons différentes afin d’obtenir une réponse satisfaisante, mais l’exercice est fréquemment voué à l’échec.

Cela dit, même si les réponses ne s’avèrent pas satisfaisantes du fait que les questions sont adressées à quelqu’un qui n’a rien de particulier à dire, on les publie quand même parce qu’il faut bien nourrir cette bête qu’est l’information.

Line Gingras
Traductrice agréée (OTTIAQ, ATIO)
Québec

« Dans la tête » : http://www.ledevoir.com/sports/actualites-sportives/40292...

Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.