05 janvier 2015
Une entente que prévoit une allocation
- Aux prises avec une dette de 800 000 $ envers le propriétaire, le RPC a conclu une entente avec ce dernier que prévoit une allocation (une forme de prêt) d’un million de dollars à rembourser sur 25 ans à un taux de 6 % pour les sept premières années.
(Frédérique Doyon, dans Le Devoir du 10 décembre 2014.)
Ce n'est pas l'allocation qui prévoit une entente, mais l'entente qui prévoit une allocation :
Aux prises avec une dette de 800 000 $ envers le propriétaire, le RPC a conclu une entente avec ce dernier qui prévoit une allocation (une forme de prêt) d’un million de dollars à rembourser sur 25 ans à un taux de 6 % pour les sept premières années.
Il serait souhaitable, par ailleurs, de rapprocher le pronom relatif de son antécédent :
Aux prises avec une dette de 800 000 $ envers le propriétaire, le RPC a conclu avec ce dernier une entente qui prévoit une allocation (une forme de prêt) d’un million de dollars à rembourser sur 25 ans, à un taux de 6 % pour les sept premières années.
Line Gingras
Traductrice agréée (OTTIAQ, ATIO)
Réviseure pigiste
Québec
« Des locataires du regroupement Pied carré déchantent » : http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/42...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
14:51 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias