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21 mars 2015

Pour...

  • On tâte la marchandise, on sent la bouffe, on se pousse pour laissez-passer des livreurs qui peinent à avancer.
    (Guillaume Bourgault-Côté dans son blogue, le 21 mars 2015.)

Il ne s'agit pas d'obtenir un laissez-passer pour quoi que ce soit :

On tâte la marchandise, on sent la bouffe, on se pousse pour laisser passer* des livreurs qui peinent à avancer.

Je flaire un vilain tour d'un correcteur orthographique qu'il faudrait avoir à l'œil.

Line Gingras
Traductrice agréée (OTTIAQ, ATIO)
Réviseure pigiste
Québec

* Le 22 mars à 17 h 35, je vois que la correction a été apportée.

« La vie était ailleurs » : http://www.ledevoir.com/opinion/blogues/le-petit-carnet/4...

Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.