19 mars 2016
Ça peut toujours servir...
- Toutes ces heures de confessions publiques [...] allaient se retrouver dans de grands cahiers abandonnés quelque part et ne serviraient à rien. Si bien que nous en étions venus à penser que tout ça ne servirait à rien, que nous avions été les dindons de la farce et que les changements que nous souhaitions n’auraient pas lieu.
(Lise Payette, dans Le Devoir du 18 mars 2016.)
Une relecture attentive, voilà qui aurait servi à quelque chose :
Toutes ces heures de confessions publiques [...] allaient se retrouver dans de grands cahiers abandonnés quelque part et ne serviraient à rien. Si bien que nous en étions venus à penser que tout ça ne servirait à rien, que nous avions été les dindons de la farce et que les changements que nous souhaitions n’auraient pas lieu.
Line Gingras
Québec
« Dans le coin droit : Couillard » : http://www.ledevoir.com/politique/quebec/465782/vous-en-p...
Traductrice agréée anglais-français, j'offre des services de révision comparative et de révision linguistique.
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
04:01 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias