04 mai 2016
On parie?
- En 2015, Leicester City avait frôlé la relégation et avant la présente saison, les preneurs aux livres britanniques offraient une cote de 5000 contre 1 aux hurluberlus prêts à parier qu’ils termineraient en tête.
(Jean Dion, dans Le Devoir du 3 mai 2016.)
Ce ne sont pas les preneurs aux livres ni les hurluberlus qui termineraient en tête, mais le club de Leicester City :
En 2015, Leicester City avait frôlé la relégation et avant la présente saison, les preneurs aux livres britanniques offraient une cote de 5000 contre 1 aux hurluberlus prêts à parier qu’il terminerait en tête.
Line Gingras
Québec
« En attendant » : http://www.ledevoir.com/sports/actualites-sportives/46977...
Traductrice agréée anglais-français, j'offre des services de révision comparative et de révision linguistique.
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
06:14 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias