16 novembre 2006
-Ment -ment -ment, c'est pesant!
«Les universités québécoises ont renoué ces deux dernières années avec les déficits. Les problèmes de sous-financement les affectent lourdement dans leur fonctionnement.» (Bernard Descôteaux.)
Sans doute n'est-il pas indispensable d'éliminer les trois finales en -ment qui... alourdissent la deuxième phrase, mais on le pourrait :
Elles sont loin de disposer des sommes nécessaires pour bien fonctionner.
Line Gingras
Québec
«Crise universitaire» : http://www.ledevoir.com/2006/11/17/122998.html
23:55 Publié dans On ne se relit jamais trop | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : langue française, journalisme, presse, médias
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