12 décembre 2006
Maladie extrêmeme
« Jusqu'au début de la présente année, le très-extrêmemement-malade Pinochet s'est employé à frauder. » (Serge Truffaut.)
Dommage : l'ironie serait plus efficace, en ce qui me concerne, s'il n'y avait pas une syllabe de trop.
Line Gingras
Québec
« Sans peine » : http://www.ledevoir.com/2006/12/12/124635.html
02:22 Publié dans On ne se relit jamais trop | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : coquilles, journalisme, presse, médias
Commentaires
Peut-être juste une faute de frappe.
Sinon, au contraire, je trouve cela pas mal amusant et ironique d'avoir insisté sur cette syllabe.
Écrit par : Mijo | 12 décembre 2006
Mouais, c'est vrai qu'avec une syllabe de plus, la fausse maladie semble s'éterniser (ce qui a été effectivement le cas).
Écrit par : Choubine | 12 décembre 2006
Cette contamination arrive souvent quand il y a des voyelles identiques qui se suivent et encore plus si ce sont les mêmes séquences consonne-voyelle : instititution par exemple. J'ai vu un véhicule qui portait une fois : Électricicité. La personne qui écrit sans regarder avant et après son texte en un seul coup d'œil (cas de frappe à l'aveugle, écriture au tableau ou sur un support large) peut ne pas se rappeler la syllabe précédente et peut faire un doublon parce qu'elle enchaîne sur la suite après une coupure. Cela m'arrive de temps à autre quand il y a des mots qui bégaient un peu.
Écrit par : Dominique | 12 décembre 2006
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