13 mai 2007
Comparons ce qui se compare
« Le langage d'un parti progressiste et de son chef n'a pas besoin d'être obtus et technocratique : il peut se nourrir d'émotions et de valeurs mobilisatrices, comme l'a fait Ségolène Royal en France. » (Gil Courtemanche.)
Non, Ségolène Royal ne s'est pas nourrie d'émotions : elle en a nourri son langage, cependant - c'est du moins ce que veut dire M. Courtemanche, si je ne me trompe. Je suggérerais :
... il peut se nourrir d'émotions et de valeurs mobilisatrices, comme celui qu'a utilisé Ségolène Royal en France / comme celui de Ségolène Royal en France.
Line Gingras
Québec
« S'ancrer dans la réalité » : http://www.ledevoir.com/2007/05/12/143202.html
23:31 Publié dans On ne se relit jamais trop | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : langue française, syntaxe, journalisme, presse
Commentaires
Malheureusement ça n'a pas été très efficace !
Écrit par : Rosa | 14 mai 2007
D'autres émotions ont été plus fortes, peut-être.
Écrit par : Choubine | 14 mai 2007
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