19 mai 2007
Faible faiblesse, et pauvre en plus
« Si on a pu considérer le transport individuel en automobile comme un droit, c'est que pendant trop longtemps, la faiblesse de l'offre de transport collectif et de moyens alternatifs moins polluants a été si faible et si pauvre que l'automobile pouvait apparaître comme un mal nécessaire. » (Gil Courtemanche.)
... pendant trop longtemps, l'offre de transport collectif...
« Ces orientations et ces mesures relèvent en bonne partie des arrondissements, comme la création de quartiers verts et de zones piétonnes ou d'apaisement de la circulation dans les zones domiciliaires. »
... dans les secteurs domiciliaires.
Line Gingras
Québec
« Une ville verte » : http://www.ledevoir.com/2007/05/19/144193.html
23:55 Publié dans On ne se relit jamais trop | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : langue française, journalisme, presse, médias
Commentaires
L'apaisement de la circulation : ça se dit ?
Écrit par : Rosa | 20 mai 2007
Je croyais que c'était une trouvaille de l'auteur, mais non : d'après ce que me donne une recherche Google, «apaisement de la circulation», «apaiser la circulation», ça se dit en effet, même si ça ne semble pas très courant.
Écrit par : Choubine | 20 mai 2007
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