28 août 2007
Une antidote ou un antidote?
« Selon lui [l'ancien maire de Québec, monsieur Jean-Paul L'Allier], le monde politique perd une femme qui était "une antidote très forte au cynisme politique". » (Presse Canadienne.)
Peu importe que l'on parle d'une femme - en l'occurrence madame Andrée Boucher, mairesse de Québec, décédée subitement vendredi dernier -, antidote est un nom masculin :
Madame Boucher était un antidote puissant contre le cynisme... et contre l'ennui.
Line Gingras
Québec
« L'Allier rend hommage à son ex-adversaire » : http://www.cyberpresse.ca/article/20070825/CPACTUALITES/7...
19:14 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : langue française, journalisme, presse, médias
Commentaires
A priori j'aurais dit "un", mais sans être plus sûr que ça.
Écrit par : phil | 30 août 2007
Et lorsqu'on parle, comme c'était le cas ici de monsieur L'Allier, il n'y a pas moyen de vérifier...
Écrit par : Choubine | 30 août 2007
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