09 mai 2010
Il réfléchit, et ne fléchit pas
- On lui a laissé plusieurs mois pour réfléchir. Mais il n'a pas fléchi. (Christiane Desjardins, dans La Presse du 5 mai 2010.)
Je suggérerais :
On lui a laissé plusieurs mois pour réfléchir. Mais il n'a pas cédé.
Line Gingras
Québec
« Meurtre sans cadavre : le tueur refuse de dire où est le corps »
(Cet article a été corrigé après la publication.)
03:43 Publié dans On ne se relit jamais trop | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias