06 juillet 2010
Ils ont été pris de cours
Pris de cours, pris de court; prendre de cours, prendre de court; prendre quelqu'un de cours, prendre quelqu'un de court; orthographe.
- Compte tenu de ces expériences, il est inconcevable que les responsables de la sécurité pour le G20 aient été pris de cours par la nécessité de détenir des centaines de personnes. (André Pratte, dans La Presse du 3 juillet 2010.)
On écrit prendre (quelqu'un) de court, être pris de court :
Il a été pris de court et n'a rien répondu. (Petit Robert.)
En principe, l'interne doit tout savoir et ne jamais être pris de court. S'il y a de la casse, c'est sa faute. (Léon Daudet, dans le Trésor de la langue française informatisé.)
Line Gingras
Québec
« Inadmissible » : http://www.cyberpresse.ca/place-publique/editorialistes/andre-pratte/201007/02/01-4295132-inadmissible.php
02:46 Publié dans Cultiver le doute, On ne se relit jamais trop | Lien permanent | Tags : langue française, orthographe, journalisme, presse