25 janvier 2012
Effluves forts?
- Cela se bouscule presque dans le petit restaurant de la rue Camirand, d'où émanent à nouveau les effluves forts agréables qui avaient cessé de mettre en appétit les passants depuis maintenant plus de trois ans et demi.
(Alexandre Shields, dans Le Devoir du 24 janvier 2012.)
Je ne crois pas que le journaliste ait voulu parler d'effluves forts qui seraient quand même agréables, mais plutôt d'effluves très agréables, fort étant ici adverbe, et non adjectif :
Cela se bouscule presque dans le petit restaurant de la rue Camirand, d'où émanent à nouveau les effluves fort agréables qui avaient cessé de mettre en appétit les passants depuis maintenant plus de trois ans et demi.
Line Gingras
Québec
« Sherbrooke – Folie au Roi du Coq rôti » : http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/340...
13:05 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias