29 novembre 2012
On est mal pris
- Cela l’oblige à rationaliser ses services pour des groupes de moins de 20 élèves bénéficiaires, surtout en région, qui seront privées* du service « clé en main », incluant le transport des denrées pris* dans l’entrepôt de Boucherville et la distribution par un responsable local d’octobre à juin.
(Lisa-Marie Gervais, dans Le Devoir du 27 novembre 2012.)
Ce sont des groupes qui seront privés du service; l'accord pourrait se faire avec élèves, mais rien ne dit qu'il s'agisse uniquement de filles.
Ce n'est pas le transport qui est pris dans l'entrepôt, mais les denrées : prises.
- Inquiet, le Conseil municipal signe une lettre ouverte dans laquelle elle* demande notamment au directeur du Club, Daniel Germain, de...
Si le Conseil municipal signe une lettre, c'est forcément lui qui demande :
Inquiet, le Conseil municipal signe une lettre ouverte dans laquelle il demande notamment au directeur du Club, Daniel Germain, de...
Line Gingras
Traductrice agréée (OTTIAQ, ATIO)
Québec
* Le 9 décembre 2012 à 23 h, je vois que la faute a été corrigée.
« Club des petits déjeuners : la restructuration pénalise les petites écoles » : http://www.ledevoir.com/societe/education/364969/club-des...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
03:46 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias