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18 novembre 2013

Faire des mille pour trouver les ours

  • « Nous avons six ou sept semaines, pas plus, pour faire notre argent », dit John, qui avec son fils tient le Bear Country Inn, l’un des refuges investis par des hordes de touristes venus de partout dans le monde pour voir l’ours polaire. « S’il faut faire des mille pour trouver les ours, c’est mauvais pour nous. »
    (Marie-Andrée Chouinard, dans Le Devoir du 28 octobre 2013.)

Mille, lorsqu'il désigne non pas le nombre, mais la mesure de distance, est un nom qui prend la marque du pluriel :

« S’il faut faire des milles* pour trouver les ours, c’est mauvais pour nous. »

Line Gingras
Traductrice agréée (OTTIAQ, ATIO)
Québec

* Le 22 novembre à 19 h 20, je vois que la correction a été apportée.

« Le Devoir dans la toundra du Manitoba – La prison… pour les ours polaires délinquants » : http://www.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-en...

Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.