26 mai 2013
Encadré
- Lire aussi : Que pense les Québécois des accomodements religieux?
(Encadré accompagnant un article de Marie-Andrée Chouinard dans le site du Devoir, le 25 mai 2013.)
Que pensent les Québécois des accommodements religieux?
Le titre du rapport auquel conduit le lien ci-dessus est pourtant écrit correctement.
Line Gingras
Traductrice agréée (OTTIAQ, ATIO)
Québec
« Entretien avec Bernard Drainville – Pour une "loi 101 des valeurs" » : http://www.ledevoir.com/politique/quebec/379051/pour-une-...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
01:34 Publié dans Cultiver le doute, On ne se relit jamais trop, Questions de langue, Société | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias
25 mai 2013
Sur place
- Les écrivains Joséphine Bacon, Laure Morali, Louise Dupré et André Roy, qui participaient à cette virée, ont pu constater sur place la fébrilité extrême qui s'était emparée de la place pour le retour de l'enfant prodigue. Des banderoles partout souhaitaient la bienvenue.
(Chantal Guy, dans La Presse du 9 mai 2013.)
Les écrivains Joséphine Bacon, Laure Morali, Louise Dupré et André Roy, qui participaient à cette virée, ont pu constater sur place la fébrilité extrême qui s'était emparée de la place pour le retour de l'enfant prodigue. Des banderoles partout souhaitaient la bienvenue.
- [...] et une fanfare bruyante qui suivait tous les déplacements de l'écrivain dans les multiples points où il était attendu.
À l'école
Le point culminant aura été le passage du Prix Médicis à son ancien lycée Faustin-Soulouque.
... dans les multiples lieux où il était attendu.
Line Gingras
Traductrice agréée (OTTIAQ, ATIO)
Québec
« Dany Laferrière de retour à Petit-Goâve » : http://www.lapresse.ca/arts/livres/201305/09/01-4649092-d...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
07:46 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias
24 mai 2013
Nouveauté
- Mieux vaut, au secondaire, faire de l’histoire pour l’histoire; se centrer sur les connaissances. Justement, les thématiques abordées actuellement en 4e seraient reprises dans le cours collégial, qui pourrait comporter trois grands thèmes, par exemple : économique, sociologique et historique.
(Antoine Robitaille, dans Le Devoir du 23 mai 2013.)
Un cours d'histoire comportant un thème historique! C'était simple, mais il fallait y penser. À moins que l'on n'ait voulu dire... politique?
Line Gingras
Traductrice agréée (OTTIAQ, ATIO)
Québec
« Cours d’histoire au collégial – Souhaitable et faisable » : http://www.ledevoir.com/politique/quebec/378787/souhaitab...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
06:36 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent
23 mai 2013
L'une d'entre elles
- Les règles d’attribution de contrats de publicité ont été changées, mais sans que cela mette fin à la publicité inutile et coûteuse, comme celle dont on nous abreuve actuellement. L’une d’entre elles fait même la promotion d’un programme qui pourrait ne pas voir le jour.
(Manon Cornellier, dans Le Devoir du 22 mai 2013.)
Le pronom elles ne peut renvoyer qu'à un féminin pluriel; or, il n'y en a qu'un dans la phrase qui précède : les règles d'attribution. La chroniqueuse veut-elle donc nous apprendre qu'une des règles d'attribution de contrats de publicité fait la promotion d'un programme? Cela n'aurait aucun sens; c'est plutôt une des annonces publicitaires qui joue ce rôle. On pouvait écrire :
Les règles d’attribution de contrats de publicité ont été changées, mais sans que cela mette fin aux publicités inutiles et coûteuses, comme celles dont on nous abreuve actuellement. L'une d'entre elles [ou l'une de ces annonces] fait même la promotion d'un programme qui pourrait ne pas voir le jour.
Les règles d’attribution de contrats de publicité ont été changées, mais sans que cela mette fin à la publicité inutile et coûteuse, comme celle dont on nous abreuve actuellement. L’une des annonces fait même la promotion d’un programme qui pourrait ne pas voir le jour.
- [...] s’il y avait vraiment tenu, il aurait, dès la première heure, demandé son avis à la Cour suprême, comme le demandaient plusieurs provinces.
Je suggérerais :
[...] s’il y avait vraiment tenu, il aurait, dès la première heure, demandé son avis à la Cour suprême, comme le souhaitaient plusieurs provinces.
- L’histoire nous montre cependant que le premier réflexe de son gouvernement est de montrer rapidement aux barricades quand un des siens est accusé de contrevenir aux règles.
On peut montrer la porte ou monter aux barricades :
L’histoire nous enseigne cependant que le premier réflexe de son gouvernement est de monter rapidement aux barricades quand un des siens est accusé de contrevenir aux règles.
Line Gingras
Traductrice agréée (OTTIAQ, ATIO)
Québec
« L'esprit de la loi » : http://www.ledevoir.com/politique/canada/378734/l-esprit-...
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04:58 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias
22 mai 2013
Journalisme et journaliste, vivants ou morts
- Un journalisme* peut repiquer dans un communiqué les déclarations d’un porte-parole officiel tout en contrebalançant avec des contre-positions.
(Stéphane Baillargeon, dans Le Devoir du 21 mai 2013.)
Un journaliste...
- [...] la professeure Nadège Broustau, rare spécialiste québécoise de cet échange complexe entre ces amis ennemis vivants* en symbiose.
Nous n'avons pas affaire ici au contraire de morts, mais, dans le contexte, à un synonyme de se trouvant. S'il était question d'animaux ou de végétaux, on parlerait d'espèces vivant [et non pas vivantes] en symbiose.
Line Gingras
Traductrice agréée (OTTIAQ, ATIO)
Québec
* Le 22 mai à 13 h 5, je vois que les deux fautes ont été corrigées.
« Portrait du reporter en baratteur » : http://www.ledevoir.com/societe/medias/378641/portrait-du...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
06:18 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias
21 mai 2013
Voyez-vous?
- [...] alors qu’il se voyait déjà premier ministre, François Legault ne voyait pas l’urgence d’en revoir la gouvernance [...]
(Michel David, dans Le Devoir du 14 mai 2013.)
On aurait pu écrire, par exemple :
[...] alors qu’il se voyait déjà premier ministre, François Legault ne trouvait pas urgent d’en réexaminer la gouvernance [...]
Line Gingras
Traductrice agréée (OTTIAQ, ATIO)
Québec
« La poule sans tête » : http://www.ledevoir.com/politique/quebec/378147/la-poule-...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
03:56 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias
20 mai 2013
L'art de s'emparer au pouvoir
- La politique ne devrait pas être l'art de s'emparer et de se maintenir au pouvoir.
(Stéphane Laporte, dans La Presse du 4 mai 2013.)
La politique ne devrait pas être l'art de s'emparer du pouvoir et de s'y maintenir.
Line Gingras
Traductrice agréée (OTTIAQ, ATIO)
Québec
« L'amitié rend sourd » : http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/stephane-laporte...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
01:02 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias