12 mars 2015
Un quoi?
- Alexandre Cloutier ne s’attendait sans doute pas à ce que son ex-collègue dans le cabinet Marois lui rappelle le douloureux souvenir de la « gouvernance souverainiste », dont presque tout le monde a heureusement oublié qu’il était le ministre responsable, et il a paru un peu déstabilisé de se faire reprocher l’ambiguïté de sa démarche référendaire par un homme qui ne sait pas lui-même s’il en tiendra un.
(Michel David, dans Le Devoir du 12 mars 2015.)
L'antécédent du pronom en devrait être référendum, mais ce mot n'est pas présent dans la phrase; il fallait écrire :
[...] et il a paru un peu déstabilisé de se faire reprocher l’ambiguïté de sa démarche référendaire par un homme qui ne sait pas lui-même s’il en tiendra un référendum.
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- [...] principalement dans la couronne montréalaise, mais aussi en Mauricie et dans la région Québec.
[...] principalement dans la couronne montréalaise, mais aussi en Mauricie et dans la région de Québec.
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- Bien entendu, les extrapolations de genre ont leurs limites et la prochaine élection générale n’aura lieu qu’en 2018.
Bien entendu, les extrapolations du genre [ou de ce genre] ont leurs limites et la prochaine élection générale n’aura lieu qu’en 2018.
Line Gingras
Traductrice agréée (OTTIAQ, ATIO)
Réviseure pigiste
Québec
« Le véritable enjeu » : http://www.ledevoir.com/politique/quebec/434237/le-verita...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
20:27 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias