20 août 2015
Constat
- Dans son esprit, le Canada ne peut penser être une voix respectée sur la scène internationale et rester sur le banc quand l’action commence.
Les alliés du Canada, à commencer par les États-Unis, ont apprécié ce virage qui marquait la fin d’une certaine neutralité canadienne.
(Bernard Descôteaux, dans Le Devoir du 20 août 2015.)
Je suggérerais par exemple :
Dans son esprit, le Canada ne peut penser être une voix respectée sur la scène internationale et rester sur le banc quand l’action commence.
Les alliés du Canada, en premier lieu les États-Unis, ont apprécié ce virage qui marquait la fin d’une certaine neutralité canadienne.
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Un jour, on apprenait qu’un nouveau traité de libre-échange était en négociation. Un autre, qu’on reniait l’accord de Kyoto sur les changements climatiques, pour finir par constater qu’une nouvelle politique venait d’être élaborée en vase clos et qui à bien des égards est à l’opposé de celle qui avait guidé l’action du Canada pendant une époque maintenant révolue.
On finissait par constater deux choses :
[...] qu’une nouvelle politique venait d’être élaborée en vase clos et qu'elle était à bien des égards à l'opposé de celle qui avait guidé l'action du Canada pendant une époque maintenant révolue.
Line Gingras
Traductrice agréée (OTTIAQ, ATIO)
Réviseure pigiste
Québec
« Harper l'activiste » : http://www.ledevoir.com/politique/canada/448003/politique...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
23:55 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias