04 février 2010
Où l'on confond la proie et le chasseur
- Au fil des ans, Galella propose un puissant antidote au style hollywoodien, où la star trop maquillée et trop souriante pose artificiellement devant la caméra. À cette école figée et prévisible, Galella préfère l'approche du chasseur qui attend sa proie tapie dans l'ombre. (Nathalie Petrowski, dans La Presse du 7 octobre 2009.)
Ce n'est pas la proie qui reste tapie dans l'ombre, mais le chasseur qui l'attend : tapi.
Line Gingras
Québec
« Ron Galella : profession paparazzi » : http://www.cyberpresse.ca/opinions/chroniqueurs/nathalie-petrowski/200910/07/01-909132-ron-galella-profession-paparazzi.php
09:41 Publié dans On ne se relit jamais trop | Lien permanent | Tags : langue française, grammaire, orthographe, journalisme