29 juin 2010
Il y tenait temps
- ... le sort veut que ce soit Stephen Harper qui ait la tâche de démontrer, dans ce contexte, que le G8 auquel il tenait temps a encore sa raison d'être. (Manon Cornellier, dans Le Devoir du 26 juin 2010.)
Bien entendu, on a voulu écrire :
... le G8 auquel il tenait tant...
Cet exemple m'a été signalé par un ami lecteur, Willem Lebegge, pour qui les homophones sont une « source inépuisable de petits plaisirs ». N'est-ce pas qu'il a raison?
Line Gingras
Québec
« L'étape » : http://www.ledevoir.com/international/actualites-internationales/291617/l-etape
05:05 Publié dans On ne se relit jamais trop | Lien permanent | Tags : langue française, orthographe, journalisme, presse