Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

21 août 2011

La terrible lucidité qu'il faisait preuve

  • [...] son dernier ouvrage, Je ne veux pas mourir seul, lui a attiré un lectorat si diversifié qu'il serait impossible d'en dresser le profil, mais qui a compris la terrible lucidité que l'auteur faisait preuve à son égard.
    (Josée Boileau, dans Le Devoir du 20 août 2011.)

On fait preuve de lucidité; il fallait donc écrire :

... la terrible lucidité dont l'auteur faisait preuve à son égard.

Line Gingras
Québec

« Gil Courtemanche – L'homme des paradoxes » : http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/32...