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23 août 2014

Existence prolongée

  • Le risque de complaisance est réel. Même si ces enquêtes étaient menées avec la rigueur professionnelle qui s’impose, il y aurait toujours un doute qui existerait.
    (Bernard Descôteaux, dans Le Devoir du 20 août 2014.)

Il existerait toujours un doute, c'est bien vrai. On aurait pu toutefois employer le verbe subsister, plus précis :

Bien que l'enquête ait mis la comtesse hors de cause, un doute subsiste, en effet. La médisance n'a pas désarmé. (Bernanos, dans le Trésor de la langue française informatisé.)

Le risque de complaisance est réel. Même si ces enquêtes étaient menées avec la rigueur professionnelle qui s’impose, il subsisterait toujours un doute qui existerait.

Je serais même tentée d'enlever l'adverbe toujours...

Line Gingras
Traductrice agréée (OTTIAQ, ATIO)
Québec

« Servir et protéger? » : http://www.ledevoir.com/politique/montreal/416281/police-...

Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.