15 février 2015
On ne peut mieux
- Déjà en 1927, on tient à Québec, à la résidence du lieutenant-gouverneur, un grand bal où Narcisse Pérodeau — on ne peut mieux nommé pareille potiche royale — paraît au public déguisé en Louis XIV [...]
(Jean-François Nadeau, dans Le Devoir du 9 février 2015.)
On dirait : On ne peut mieux décrire [et non pas décrit ni décrite] pareille potiche royale. Il fallait donc employer l'infinitif :
Déjà en 1927, on tient à Québec, à la résidence du lieutenant-gouverneur, un grand bal où Narcisse Pérodeau — on ne peut mieux nommer* pareille potiche royale — paraît au public déguisé en Louis XIV [...]
Line Gingras
Traductrice agréée (OTTIAQ, ATIO)
Réviseure pigiste
Québec
* Le 16 février à 19 h 30, je vois que la correction a été apportée.
« La ligne du sang » : http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/431...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
23:55 Publié dans Cultiver le doute, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias