21 novembre 2007
Trop, c'est trop
« Et il ne faudrait pas se surprendre que l'organe de règlement des différends de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) soit saisi d'affaires concernant l'obligation de doubler les films dans la langue nationale ou l'imposition de quotas de programmation obligeant la radiodiffusion d'une proportion d'émissions dans une langue nationale. » (Pauline Marois, chef du Parti québécois.)
Cette phrase pourrait se lire mieux :
... l'obligation de doubler les films dans la langue nationale ou l'imposition de quotas forçant à radiodiffuser un certain pourcentage d'émissions dans une langue nationale.
Line Gingras
Québec
« Libre opinion - Le Québec et la diversité linguistique » : http://www.ledevoir.com/2007/11/21/165189.html
06:10 Publié dans On ne se relit jamais trop | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : langue française, écriture, presse, médias
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