30 septembre 2016
Une culture radicale
- En juin, après les révélations en commission de deux ex-employées du ministère des Transports, Philippe Couillard promettait un « changement de culture » radicale.
(Antoine Robitaille, dans Le Devoir du 24 septembre 2016.)
Ce n'est pas la culture qui est radicale, mais le changement promis :
En juin, après les révélations en commission de deux ex-employées du ministère des Transports, Philippe Couillard promettait un « changement de culture » radical.
Line Gingras
Québec
« Confiance ébranlée » : http://www.ledevoir.com/politique/quebec/480770/le-cas-du...
Traductrice agréée anglais-français, j'offre des services de révision comparative et de révision linguistique.
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
02:26 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias
29 septembre 2016
Justin Trudeau et ses voix
- On s’est fendu d’analyses sur les enjeux politiques qui viendraient ennuager les voix ensoleillées de Justin Trudeau cet automne [...]
(Denis Ferland, dans Le Devoir du 28 septembre 2016.)
Justin Trudeau n'est pas Jeanne d'Arc :
On s’est fendu d’analyses sur les enjeux politiques qui viendraient ennuager les voies ensoleillées de Justin Trudeau cet automne [...]
Line Gingras
Québec
« Les vraies affaires » : http://www.ledevoir.com/politique/canada/481023/les-vraie...
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03:37 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias
28 septembre 2016
Cancer et témoignages
- Josée Blanchette lance le « Je ne sais pas pondre l’œuf, mais je sais quand il est pourri », vaste enquête sur l’industrie du cancer doublé de témoignages personnels.
(Légende de la photo accompagnant un article de Dominic Tardif, dans Le Devoir du 28 septembre 2016.)
Ce n'est pas le cancer qui est doublé de témoignages personnels, mais l'enquête :
Josée Blanchette lance Je ne sais pas pondre l’œuf, mais je sais quand il est pourri, vaste enquête sur l’industrie du cancer doublée de témoignages personnels.
Line Gingras
Québec
« Une orpheline en colère » : http://www.ledevoir.com/culture/livres/480977/livres-l-or...
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04:19 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias
26 septembre 2016
Qui est l'intrus?
- L’initiation aux classiques de la littérature se fait à l’aide de livres numériques, recelant cartes, vidéos et biographies : tout pour mettre en contexte les œuvres de Dumas, de Candide ou de Maupassant.
(Isabelle Paré, dans Le Devoir du 24 septembre 2016.)
Jamais je n'ai entendu parler d'un grand écrivain qui se serait appelé Candide; il est vrai qu'on ne peut pas tout savoir. Je me souviens très bien, par contre, de ma première professeure de français au cégep de Sainte-Foy, madame Jeanne-Marie Dulong, qui me fit découvrir un conte philosophique de Voltaire*, Candide ou l'Optimisme – un classique. Wikipédia m'apprend à ce propos : « Il a été réédité vingt fois du vivant de l’auteur, ce qui en fait un des plus grands succès littéraires français. »
Line Gingras
Québec
* Le 26 septembre à 12 h 45, je vois que la correction a été apportée.
« L’enjeu du numérique à l’école » : http://www.ledevoir.com/societe/education/480793/l-enjeu-...
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03:50 Publié dans Cultiver le doute | Lien permanent | Tags : Éducation, littérature, journalisme, presse, médias
25 septembre 2016
Étonnant
- Il était pour le moins étonnant d’entendre le premier ministre lui réitérer sa confiance tout en reconnaissant ne pas connaître les faits.
(Michel David, dans Le Devoir du 22 septembre 2016.)
Il était pour le moins étonnant d’entendre le premier ministre lui réitérer sa confiance tout en admettant ne pas connaître les faits.
- Peu importe la nature des documents [...] et l’utilisation que le gouvernement pourrait en avoir fait [...]
Le participe passé du verbe faire, employé avec l'auxiliaire avoir, doit s'accorder avec le complément d'objet direct, celui-ci étant placé devant le verbe :
Peu importe la nature des documents [...] et l’utilisation que le gouvernement pourrait en avoir faite [...]
Line Gingras
Québec
« La tête du poisson » : http://www.ledevoir.com/politique/quebec/480586/la-tete-d...
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23:55 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias
24 septembre 2016
En Chine
- On y exécute plus de personnes que tous les autres pays réunis.
(Manon Cornellier, dans Le Devoir du 23 septembre 2016.)
On y exécute [On exécute en Chine] plus de personnes que dans tous les autres pays réunis.
Line Gingras
Québec
« La prudence s'impose » : http://www.ledevoir.com/politique/canada/480679/extraditi...
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04:29 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias
23 septembre 2016
La désaffection au projet indépendantiste
Désaffection à quelque chose, désaffection à quelqu'un; désaffection de quelqu'un à quelque chose, désaffection de quelqu'un à quelqu'un; préposition; grammaire française; syntaxe du français.
- Il faut de toute urgence trouver mieux, la désaffection des jeunes au projet indépendantiste est là pour nous le rappeler.
(Francine Pelletier, dans Le Devoir du 1er juin 2016.)
On parle de la désaffection (de quelqu'un) pour, envers, à l'égard de, vis-à-vis de quelqu'un ou quelque chose, selon le cas, et non à :
La désaffection du public pour le cinéma. (Petit Robert.)
La désaffection à l'égard d'une institution. (Petit Robert.)
La désaffection du peuple pour un régime, d'une personne pour une autre. (Grand Robert.)
[...] il en est résulté une désaffection pour l'émiettement des partis. (G. Bouthoul dans le Grand Robert, à l'article « dépolitisation ».)
Barrès s'éloigne, essai de Montherlant (où l'auteur marquait la désaffection de la jeunesse envers Barrès). (Rédaction du Grand Robert, à l'article « éloigner ».)
Une désaffection à l'égard du régime et un déclin de la moralité civique. (Meynaud, dans le Trésor de la langue française informatisé.)
La désaffection des consommateurs pour la morue salée. (Boyer, dans le Trésor.)
[On peut] constater une désaffection de la clientèle vis-à-vis des bascules pèse-personnes [des gares]. (La Vie du Rail, dans le Trésor, à l'article « pèse-personne ».)
La chroniqueuse aurait pu écrire :
Il faut de toute urgence trouver mieux, la désaffection des jeunes à l'égard du projet indépendantiste est là pour nous le rappeler.
Line Gingras
Québec
« Ce qu'il reste de nous » : http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/472...
Traductrice agréée anglais-français, j'offre des services de révision comparative et de révision linguistique.
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
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21 septembre 2016
Une Fort T
- Dans cet amas de métal oxydé, M. Moisan voyait pourtant se profiler une rutilante Fort T. Depuis 57 ans, il possède la même voiture noire, datée de 1921.
(Jean-François Nadeau, dans Le Devoir du 19 septembre 2016.)
Je ne m'y connais guère en voitures, mais qui n'a jamais entendu parler de la Ford T*?
Line Gingras
Québec
* Le 22 septembre à 13 h 20, je vois que la correction a été apportée.
« Le progrès » : http://www.ledevoir.com/societe/sante/480285/le-progres
Traductrice agréée anglais-français, j'offre des services de révision comparative et de révision linguistique.
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
22:54 Publié dans On ne se relit jamais trop | Lien permanent | Tags : journalisme, presse, médias
20 septembre 2016
Multiplications
- Une jeune fille de 18 ans, de la région de Carinthie, au sud du pays, aurait décidé de traîner ses parents devant les tribunaux pour la publication sans son consentement de photos d’elles durant toute son enfance, sur Facebook.
Il y était question de 500 clichés d’elles, dont plusieurs dans des situations gênantes [...]
(Fabien Deglise, dans Le Devoir du 19 septembre 2016.)
Il y a pas mal de photos, mais une seule enfant :
Une jeune fille de 18 ans, de la région de Carinthie, au sud du pays, aurait décidé de traîner ses parents devant les tribunaux pour la publication sans son consentement de photos d’elle* durant toute son enfance, sur Facebook.
Il y était question de 500 clichés d’elle*, dont plusieurs dans des situations gênantes [...]
* * * * *
-
Un partage qui se joue désormais dans des mondes sans balises où la possibilité de le faire, jumelé au fait que tout le monde le fait, devient ce grand justificatif universel à la diffusion d’information.
Un partage qui se joue désormais dans des mondes sans balises où la possibilité de le faire, jumelée* au fait que tout le monde le fait, devient ce grand justificatif universel à la diffusion d’information.
Tout le monde peut le faire et tout le monde le fait, ce serait un fait (et un effet d'insistance, sans doute).
Line Gingras
Québec
* Le 21 septembre à 14 h 20, je vois que la correction a été apportée.
« Rhabiller le petit » : http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/480...
Traductrice agréée anglais-français, j'offre des services de révision comparative et de révision linguistique.
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
16:43 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias
19 septembre 2016
Quasi-absent, le bilinguisme
Quasi-absent, quasi absent; quasi-absence, quasi absence; trait d'union; orthographe.
- Un bilinguisme essentiel... mais quasi-absent
(Titre d'un article de Marie Vastel, dans Le Devoir du 15 septembre 2016.)
Les rectifications de l'orthographe n'ont rien changé à la règle. Devant un nom avec lequel il forme une sorte de composé, l'adverbe quasi s'écrit avec un trait d'union (quasi-absence); devant un autre mot, il n'est pas suivi du trait d'union – bien que l'on trouve, dans le Grand Robert et dans le Trésor de la langue française informatisé, des exemples d'emploi du trait d'union devant l'adjectif.
Devant un nom :
La quasi-certitude. (Multidictionnaire.)
Cette liaison devint un quasi-mariage. (Balzac, dans le Petit Robert.)
Pour la quasi-totalité des Français l'affaire du Maroc se ramène à une image d'Épinal [...] (F. Mauriac, dans le Grand Robert.)
Une grande rivalité les opposa [les Anglais] aux pêcheurs français, qui exerçaient alors un quasi-monopole, puisque aussi bien le Canada et Terre-Neuve étaient des possessions françaises. (Boyer, dans le Trésor.)
Devant un adjectif :
Un obstacle quasi infranchissable. (Multidictionnaire.)
L'impassibilité quasi miraculeuse des martyrs chrétiens. (Sarraute, dans le Lexis.)
La place du Panthéon était quasi déserte. (Butor, dans le Lexis.)
Le raisin est quasi mûr. (Colette, dans le Petit Robert.)
Je dois reconnaître que ce premier contact direct avec l'Évangile n'eut pas [...] l'effet quasi foudroyant que j'espérais [...] (Gide, dans le Grand Robert.)
[...] des sentiments graves, paisibles, quasi religieux. (R. Rolland dans le Grand Robert, à l'article « laid ».)
L'abbé de Vèze emmena madame de La Chanterie pâle et quasi mourante. (Balzac, dans le Trésor.)
Sœur Mathilde et moi, nous sommes quasi voisines. (Bernanos, dans le Trésor.)
[...] ces heures de nuit totale où la gratitude quasi-filiale d'un adolescent verse sans retenue des larmes, des confidences, des rancunes, au sein chaleureux d'une mûre et sûre amie. (Colette, dans le Trésor.)
Il aurait mieux valu écrire :
Un bilinguisme essentiel... mais quasi absent
Line Gingras
Québec
« Un bilinguisme essentiel... mais quasi-absent » : http://www.ledevoir.com/politique/canada/480024/chefferie...
Traductrice agréée anglais-français, j'offre des services de révision comparative et de révision linguistique.
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
03:24 Publié dans Cultiver le doute, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias
18 septembre 2016
Différemment que
Différemment que, différemment de; grammaire française; syntaxe du français.
- L'histoire récente nous dit qu'une grippe d'homme politique tend à être traitée bien différemment que celle d'une femme.
(Rima Elkouri, dans La Presse du 16 septembre 2016.)
Le Trésor de la langue française informatisé signale, comme rare et vieillie, la construction différemment que :
Jamais il ne put la voir dans sa pensée différemment qu'il ne l'avait vue la première fois. (Flaubert.)
Il admet cependant sans réserves différemment de :
Vivre un peu différemment des paysans. (Renan.)
C'est différemment de moi que tu aimes la campagne. (Rivière.)
Le Petit et le Grand Robert, comme le Multidictionnaire, ne reçoivent que différemment de :
Je pense différemment de mes parents. (Multidictionnaire.)
Agir différemment, tout différemment des autres. (Petit Robert.)
Les princes agissent différemment des particuliers. (Littré, dans le Grand Robert.)
[...] le personnage de la portière, de la concierge est typé très différemment de celui de la bonne [...] (Remarque du Grand Robert, à l'article « concierge ».)
Il aurait mieux valu écrire :
L'histoire récente nous dit qu'une grippe d'homme politique tend à être traitée bien différemment de celle d'une femme.
Line Gingras
Québec
« Grippe d'homme, grippe de femme » : http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/rima-elkouri/201...
Traductrice agréée anglais-français, j'offre des services de révision comparative et de révision linguistique.
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
00:48 Publié dans Cultiver le doute, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias
17 septembre 2016
Entente conclue
- L’entente conclue récemment avec Uber contient des aménagements cosmétiques en faveur des chauffeurs propriétaires, certes, mais il ne prend jamais en considération la conséquence qu’est la perte de valeur du permis de taxi.
(Fabrice Vil, dans Le Devoir du 16 septembre 2016.)
Je ne vois pas ce que le pronom personnel peut représenter, sinon l'entente :
L’entente conclue récemment avec Uber contient des aménagements cosmétiques en faveur des chauffeurs propriétaires, certes, mais elle ne prend jamais en considération la conséquence qu’est la perte de valeur du permis de taxi.
Line Gingras
Québec
« Le fardeau du progrès technologique » : http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/480...
Traductrice agréée anglais-français, j'offre des services de révision comparative et de révision linguistique.
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
05:00 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias
16 septembre 2016
Si la tendance se maintient...
- Encore qu’ils ne font qu’obéir à une tendance générale et universelle parmi les élus, d’ici et d’ailleurs, qui consistent à garder leurs bobos pour eux-mêmes.
(Guy Taillefer, dans Le Devoir du 14 septembre 2016.)
Ce ne sont pas les élus qui consistent, mais la tendance :
Encore qu’ils ne font qu’obéir à une tendance générale et universelle parmi les élus, d’ici et d’ailleurs, qui consiste à garder leurs bobos pour eux-mêmes.
Line Gingras
Québec
« Démocratie grippée » : http://www.ledevoir.com/international/etats-unis/479915/c...
Traductrice agréée anglais-français, j'offre des services de révision comparative et de révision linguistique.
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20:39 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias
12 septembre 2016
Un prix Pullizer
- L’image est patrimoniale. Son auteur, Nick Ut, a même reçu un prix Pullizer pour avoir immortalisé ce drame.
(Fabien Deglise, dans Le Devoir du 12 septembre 2016.)
On connaît l'existence des prix Pulitzer :
L’image est patrimoniale. Son auteur, Nick Ut, a même reçu un prix Pulitzer* pour avoir immortalisé ce drame.
Line Gingras
Québec
* Le 13 septembre à 16 h, je vois que la correction a été apportée.
« Debout! » : http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/479...
Traductrice agréée anglais-français, j'offre des services de révision comparative et de révision linguistique.
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
23:53 Publié dans Cultiver le doute, On ne se relit jamais trop | Lien permanent | Tags : journalisme, presse, médias
02 septembre 2016
Un autre
- Dans son blogue de l’Université Laval, le sociologue Simon Langlois nous parlait récemment de « société liquide », se référant à un autre sociologue polonais, Zygmunt Bauman, qui remarque à quel point nos sociétés avancées sont devenues liquides par rapport aux sociétés solides d’autrefois.
(Josée Blanchette, dans Le Devoir du 2 septembre 2016.)
Les deux sociologues ne sont pas tous deux polonais :
Dans son blogue de l’Université Laval, le sociologue Simon Langlois nous parlait récemment de « société liquide », se référant à un autre sociologue [ou à un confrère], le Polonais Zygmunt Bauman [...]
Line Gingras
Québec
« L'âgisme ordinaire » : http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/479...
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23:55 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias