24 mai 2012
En mauvaise compagnie
- [...] des slogans contre les augmentations des droits de scolarité souvent accompagnés par une réduction des services.
(Serge Truffaut, dans Le Devoir du 24 mai 2012.)
Ce ne sont ni les slogans ni les droits de scolarité qui sont souvent accompagnés par une réduction des services, mais les augmentations des droits de scolarité :
[...] des slogans contre les augmentations des droits de scolarité souvent accompagnées par une réduction des services.
Line Gingras
Québec
« Crise étudiante dans le monde – Le serpent de mer » : http://www.ledevoir.com/international/actualites-internat...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
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23 mai 2012
Les prestataires et ses prestations
- [...] les prestataires qui travailleront quelques heures verront à l'avenir leurs prestations amputées de la moitié du REVENU GAGNÉ, que ce revenu représente l'équivalent de 10, 30 ou 50 % de ses prestations.
(Manon Cornellier, dans Le Devoir du 11 avril 2012.)
Je verrais deux possibilités :
[...] les prestataires qui travailleront quelques heures verront à l'avenir leurs prestations amputées de la moitié du REVENU GAGNÉ, que ce revenu représente l'équivalent de 10, 30 ou 50 % de leurs prestations.
[...] les prestataires qui travailleront quelques heures verront à l'avenir leurs prestations amputées de la moitié du REVENU GAGNÉ, que ce revenu représente l'équivalent de 10, 30 ou 50 % des prestations.
Line Gingras
Québec
« L'art d'induire en erreur » : http://www.ledevoir.com/politique/canada/347124/l-art-d-i...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
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21 mai 2012
D'autres qu'elle rend malade
- L'époque est aux liens, factices ou sincères, qui se vivent comme une façon d'enrayer la solitude pour les uns ou encore comme une source d'angoisse pour d'autres que cette frénésie du tout à l'ego est peut-être, un peu, en train de rendre malade.
(Fabien Deglise, dans Le Devoir du 24 avril 2012.)
La frénésie du tout à l'ego est en train de rendre d'autres (c'est-à-dire d'autres personnes) malades. L'adjectif est attribut du complément d'objet direct :
L'époque est aux liens, factices ou sincères, qui se vivent comme une façon d'enrayer la solitude pour les uns ou encore comme une source d'angoisse pour d'autres que cette frénésie du tout à l'ego est peut-être, un peu, en train de rendre malades.
Line Gingras
Québec
« #chroniquefd – Seuls ensemble » : http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/348...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
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20 mai 2012
Qui donc a été menacé?
- Après avoir été menacé par le candidat du Front de gauche, Jean‑Luc Mélenchon, Marine Le Pen semble avoir repris la troisième place dans les sondages.
(Christian Rioux, dans Le Devoir du 17 avril 2012.)
C'est Marine Le Pen qui a été menacée par Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche.
Line Gingras
Québec
« Présidentielle française (2) – Le nouveau Front national » : http://www.ledevoir.com/international/europe/347601/presi...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
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19 mai 2012
Avec des si
- Si le PQ prenait le pouvoir, il fera un grand sommet sur l’éducation où tout serait sur la table.
(Antoine Robitaille, dans Le Devoir du 19 mai 2012.)
Deux possibilités :
Si le PQ prenait le pouvoir, il ferait un grand sommet sur l’éducation où tout serait sur la table.
Si le PQ prend le pouvoir, il fera un grand sommet sur l’éducation où tout sera sur la table.
Line Gingras
Québec
« "Ce n’est pas une loi matraque" » : http://www.ledevoir.com/politique/quebec/350536/ce-n-est-...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
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18 mai 2012
Ils se sont cachés le visage
- À l'intérieur du palais de justice de Montréal, les quatre jeunes accusés d’avoir participé aux attentats à la bombe fumigène dans le métro ont été accueillis par des amis et des proches, qui se sont cachés le visage devant les photographes.
(Légende de la photo accompagnant un article de La Presse canadienne dans le site du Devoir, le 14 mai 2012 à 13 h 20.)
Lorsque le verbe pronominal a un complément d'objet direct (c.o.d.), c'est avec ce complément, s'il est placé devant le verbe, que doit s'accorder le participe passé. Si le c.o.d. est placé après le verbe, le participe reste invariable.
Les amis et les proches ont caché quoi? Le visage. Le c.o.d. étant placé après le verbe, il fallait écrire :
[...] ont été accueillis par des amis et des proches, qui se sont caché le visage devant les photographes.
Le participe s'accorderait, par contre, dans la phrase suivante :
Les enfants se sont cachés derrière la meule de foin.
Line Gingras
Québec
« Bombes fumigènes : les quatre accusés seront détenus jusqu'au 23 mai » : http://www.ledevoir.com/societe/justice/350047/bombes-fum...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
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17 mai 2012
Sillonner dans les rues
Sillonner dans les rues, sillonner les rues; sillonner, verbe transitif ou intransitif; grammaire française; syntaxe.
- [...] des étudiants et leurs sympathisants se donnent rendez-vous à 20 h 30 au parc Émilie-Gamelin avant de sillonner dans les rues du centre-ville.
(Philippe Teisceira-Lessard, dans le site de La Presse, 17 mai 2012.)
D'après ce que je vois dans les dictionnaires que j'ai sous la main, sillonner, verbe transitif, appelle un complément d'objet direct :
Voitures qui sillonnent les routes. (Petit Robert.)
Ce capitaine a sillonné les mers. (Multidictionnaire.)
Des avions ont sillonné le ciel toute la matinée. (Lexis.)
La moto était allée et venue, plusieurs fois, sillonnant à faible allure les rues avoisinantes. (Robbe-Grillet, dans le Lexis.)
La place de la gare, que sillonne un va-et-vient de piétons et de véhicules. (Martin du Gard, dans le Trésor de la langue française informatisé.)
Il fallait écrire :
[...] des étudiants et leurs sympathisants se donnent rendez-vous à 20 h 30 au parc Émilie-Gamelin avant de sillonner dans les rues du centre-ville.
Line Gingras
Québec
« Une 24ème [sic] soirée consécutive de manifestations »
(L'article n'existe plus tel quel.)
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
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16 mai 2012
Mise et remise
- L'enquête sur leur mise en liberté a été remise, ce matin, au palais de justice de Montréal [...]
(Christiane Desjardins dans La Presse, le 14 mai 2012; texte mis à jour à 13 h 36.)
L'enquête sur leur mise en liberté a été reportée, ce matin, au palais de justice de Montréal [...]
Line Gingras
Québec
« Accusés du métro : quatre étudiants de bonne famille, dit l'avocate » : http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-e...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
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15 mai 2012
Le muselage des médias
Muselage ou musellement.
- L'éditorial de La Presse prône la hausse des droits de scolarité, ce qui en fait fulminer certains. Mais plusieurs chroniqueurs appuient les revendications étudiantes. C'est malheureusement le genre de nuances dont ne s'embarrassent pas ceux qui préfèrent le muselage et les théories du complot.
(Rima Elkouri, dans La Presse du 15 mai 2012 à 7 h 39.)
Les dictionnaires que j'ai sous la main ne donnent pas muselage, mais plutôt musellement (au propre comme au figuré) :
Le musellement des opposants. (Lexis.)
Le musellement d'un chien méchant, le musellement de la presse. (Multidictionnaire.)
Le musellement de l'opposition. (Petit Robert.)
Musellement de l'opposition, de la presse. (Trésor de la langue française informatisé.)
Il fallait écrire :
C'est malheureusement le genre de nuances dont ne s'embarrassent pas ceux qui préfèrent le musellement et les théories du complot.
Line Gingras
Québec
« Dérive fumigène » : http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/rima-elkouri/201...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
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14 mai 2012
Lui aussi
- À la guerre comme à la guerre, la propagande gouvernementale a aussi tout fait pour écraser un adversaire décrit par lui aussi comme antidémocratique, fanatique ou inconscient.
(Stéphane Baillargeon, dans Le Devoir du 14 mai 2012.)
Ou bien le pronom renvoie à propagande, ou bien il renvoie à gouvernement. Je verrais deux possibilités :
À la guerre comme à la guerre, la propagande gouvernementale a aussi tout fait pour écraser un adversaire décrit par elle aussi comme antidémocratique, fanatique ou inconscient.
À la guerre comme à la guerre, la propagande du gouvernement a aussi tout fait pour écraser un adversaire décrit par lui aussi comme antidémocratique, fanatique ou inconscient.
Line Gingras
Québec
« Médias – De guerre d’image lasse » : http://www.ledevoir.com/societe/medias/349983/medias-de-g...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
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13 mai 2012
Ce dernier, à bien distinguer de ces derniers
- En effet, il faut souligner que l'offensive en question a été conçue et poursuivie par le réseau Haqqani. Or il se trouve que ce dernier existait avant les talibans, et que s'il entretient des liens avec ces derniers, il a toujours pris un soin méticuleux à ne pas y être inféodé.
(Serge Truffaut, dans Le Devoir du 18 avril 2012.)
Je suggérerais :
Or, il se trouve que celui-ci existait avant les talibans, et que s'il entretient des liens avec ces derniers, il a toujours pris un soin méticuleux à ne pas y être inféodé.
Line Gingras
Québec
« Conflit afghan – Horizon brouillé » : http://www.ledevoir.com/international/actualites-internat...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
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12 mai 2012
Empiéter sur leur droit à leur droit?
- En voulant forcer les Montréalais à manifester à visage découvert et en les obligeant à fournir leur itinéraire sous peine de lourdes amendes (de 500 $ à 3000 $), Montréal s’apprête à empiéter sur leur droit à la liberté d’expression, à la liberté d’association, et peut-être même à leur droit à la vie privée [...]
(Brian Myles, dans Le Devoir du 12 mai 2012.)
On a plutôt voulu dire :
[...] Montréal s’apprête à empiéter sur leur droit à la liberté d’expression, à la liberté d’association, et peut-être même sur leur droit à la vie privée [...]
Line Gingras
Québec
« Le nouvel ennemi public numéro 1 » : http://www.ledevoir.com/societe/justice/349972/le-nouvel-...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
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11 mai 2012
Singulier ou pluriel?
- Mais les policiers auraient-ils pu réagir autrement à un groupe de manifestants qui a tenté de s’introduire dans l’hôtel où se tenait le conseil du PLQ, armés de projectiles?
(Lisa-Marie Gervais, dans Le Devoir du 10 mai 2012.)
La proposition relative qui a tenté de s'introduire dans l'hôtel et le syntagme armés de projectiles se rattachent tous deux à un groupe de manifestants; il serait donc souhaitable, à mon avis, que les deux s'accordent avec le même terme – soit un groupe, soit manifestants. J'opterais pour le pluriel, parce qu'il me vient l'image de plusieurs individus armés chacun d'un ou de plusieurs projectiles :
Mais les policiers auraient-ils pu réagir autrement à un groupe de manifestants qui ont tenté de s’introduire dans l’hôtel où se tenait le conseil du PLQ, armés de projectiles?
En l'absence du syntagme armés de projectiles, j'aurais plutôt mis le verbe de la relative au singulier, comme l'a fait la journaliste, parce que j'aurais eu tendance à voir le groupe comme un tout; mais le pluriel aurait été correct également.
Line Gingras
Québec
« Manifestation violente à Victoriaville – Une enquête publique est réclamée » : http://www.ledevoir.com/societe/education/349716/une-enqu...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
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10 mai 2012
Elle s'est écrié
Elle s'est écrié, elle s'est écriée; elles se sont écrié, elles se sont écriées; ils se sont écrié, ils se sont écriés; s'écrier, accord du participe passé du verbe pronominal; verbe essentiellement pronominal; grammaire française; orthographe d'accord.
- « Les forces policières ont fait un travail catastrophique et épouvantable et ont mis en danger la vie des gens », s’est écrié Johanne Nasstrom, coporte-parole de la Coalition.
(Lisa-Marie Gervais, dans Le Devoir du 10 mai 2012.)
Comme le signale Marie-Éva de Villers, le participe passé de s'écrier, verbe essentiellement pronominal (c'est-à-dire qui n'existe qu'à la forme pronominale), « s'accorde toujours en genre et en nombre avec le sujet du verbe » :
« Les forces policières ont fait un travail catastrophique et épouvantable et ont mis en danger la vie des gens », s’est écriée Johanne Nasstrom, coporte-parole de la Coalition.
Line Gingras
Québec
« Manifestation violente à Victoriaville – Une enquête publique est réclamée » : http://www.ledevoir.com/societe/education/349716/une-enqu...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
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09 mai 2012
Aucune des dépenses ne correspondent
- [...] aucune des dépenses remboursées ne correspondent à la définition de la recherche et du secrétariat.
(Kathleen Lévesque, dans Le Devoir du 28 avril 2012.)
Le verbe correspondre doit s'accorder avec le noyau du groupe sujet, aucune :
[...] aucune des dépenses remboursées ne correspond à la définition de la recherche et du secrétariat.
Line Gingras
Québec
« Utilisation des fonds publics à des fins partisanes – Un problème généralisé, selon Québec » : http://www.ledevoir.com/politique/villes-et-regions/34874...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
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08 mai 2012
Énergie carboneneutre
- M. Arcuri représente la société Énergie carboneutre, une firme spécialisée dans la décontamination des sols, dont les études techniques ont été réalisées par Génivar. En mai 2010, Énergie carboneneutre obtient du ministère l’autorisation qu’elle réclamait.
(Michel David, dans Le Devoir du 3 mai 2012.)
L'entreprise s'appelle Énergie Carboneutre, d'après ce qu'indique une recherche Google.
Line Gingras
Québec
« Le respect perdu » : http://www.ledevoir.com/politique/quebec/349080/le-respec...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
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07 mai 2012
Pronom possessif
- Comme le clamait une autre affiche, hier : « Votre crise, on n'y croit pas, votre dette, on n'en veut pas. » Remarquez l'emploi du pronom possessif. Votre crise. Pas du tout la nôtre...
(Agnès Gruda, dans La Presse du 2 mai 2012.)
Votre n'est pas un pronom, mais un adjectif ou déterminant possessif. On aurait pu écrire :
Remarquez l'emploi du possessif.
Il y a néanmoins un pronom possessif dans le passage à l'étude : la nôtre.
Line Gingras
Québec
« Toulouse la rose » : http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/agnes-gruda/2012...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
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06 mai 2012
Elle croit qu'une plus grande proportion soit versée
- Lors d’un conseil général, les militants libéraux n’ont pas de grandes décisions prendre, rien qui pourrait prendre beaucoup d’importance dans une campagne électorale.
(Robert Dutrisac, dans Le Devoir du 5 mai 2012.)
Lors d’un conseil général, les militants libéraux n’ont pas de grandes décisions à prendre, rien qui pourrait revêtir beaucoup d’importance dans une campagne électorale.
- La Commission politique croit qu’une plus grande proportion des surplus à venir soit versée au Fonds des générations afin de réduire [...] Elle souhaite également que [...]
Selon Marie-Éva de Villers, le verbe croire, « au mode affirmatif [...], se construit avec la conjonction que suivie de l'indicatif »; Hanse et Blampain estiment que le conditionnel est également possible, « s'il s'agit d'une éventualité ». Cependant, si l'on se contentait ici de remplacer soit versée par sera versée ou serait versée, on rendrait une idée bien différente de celle que le journaliste a voulu exprimer, si j'ai bien compris. Je suggérerais plutôt :
La Commission politique croit qu’une plus grande proportion des surplus à venir doit être [ou devrait être] versée au Fonds des générations afin de réduire [...] Elle souhaite également que [...]
Line Gingras
Québec
« "La politique n’est pas un long fleuve tranquille" » : http://www.ledevoir.com/politique/quebec/349360/la-politi...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
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05 mai 2012
Les artistes appuieraient donc la hausse?
- Conscients que l'opinion publique est divisée, les artistes espèrent que ceux qui n'appuient pas la hausse seront sensibles à leurs arguments et changeront d'avis quand ils entendront Guylaine Tremblay, Fred Pellerin ou le Dr Vadeboncœur leur expliquer leur position.
(Nathalie Petrowski, dans La Presse du 2 mai 2012.)
Les artistes dont il s'agit appuient les étudiants qui s'opposent à la hausse des droits de scolarité; ils n'appuient donc pas la hausse. Si j'ai bien suivi, ils espèrent que ceux qui appuient la hausse seront sensibles à leurs arguments et changeront d'avis quand ils entendront Guylaine Tremblay, Fred Pellerin ou le Dr Vadeboncœur leur expliquer leur position.
Line Gingras
Québec
« Le zoom arrière des artistes » : http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/nathalie-petrows...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
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04 mai 2012
Kant Nagano et compagnie
- Nelson Freire (piano), Orchestre symphonique de Montréal, Kant Nagano.
(Encadré d'un article de Christophe Huss, dans Le Devoir du 4 mai 2012.)
Kent Nagano.
- [...] les transitions miteuses d’un second volet au lignes amorphes [...]
[...] les transitions miteuses d’un second volet aux lignes amorphes [...]
- À la sortie, vers le métro, trois excellents musiciens chantaient du Simon et Garfunfel avec talent et envie.
Monsieur Huss voulait parler de Simon et Garfunkel.
Line Gingras
Québec
« Manque de feu sous la choucroute! » : http://www.ledevoir.com/culture/musique/349278/manque-de-...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
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03 mai 2012
Le printemps arable
- [...] les dérapages avec les casseurs armés de bâtons de baseball, les policiers qui ont pris le mors aux dents et les médias étrangers qui jettent un regard médusé sur ce printemps qu'on qualifie d'érable à défaut d'arable [...]
(Michèle Ouimet, dans La Presse du 1er mai 2012.)
Madame Ouimet voulait faire allusion, je pense, au printemps arabe.
Line Gingras
Québec
« Le temps file » : http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/michele-ouimet/2...
Il n'y a pas que ce que l'on dit; la manière dont on le dit, c'est un message aussi.
20:58 Publié dans On ne se relit jamais trop, Questions de langue | Lien permanent | Tags : langue française, journalisme, presse, médias