28 mars 2008
Eurent été, eussent été?
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14 mars 2008
Le corps était décédé
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12 mars 2008
Deux heures et demi
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11 mars 2008
Profiter que
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09 mars 2008
Quand ça goutte, on y goûte!
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Participer à désengorger...
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06 mars 2008
Les pieds devants
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Elle a nuit
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24 février 2008
Calandres grecques
« On devrait élire des gens qui nous promettent de ne pas renvoyer aux calandres grecques les problèmes dont ils hériteront. » (Denise Bombardier.)
Enfin une promesse que tous les politiciens pourraient faire, voire tenir.
Un peu de sérieux. J'ouvre mon Petit Robert; on y parle en effet de calandres, mais pas de la sorte qui convient. Il fallait écrire :
... qui nous promettent de ne pas renvoyer aux calendes grecques...
Line Gingras
Québec
« L'art de ne pas gouverner » : http://www.ledevoir.com/2008/02/23/177427.html
04:15 Publié dans Cultiver le doute | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : langue française, orthographe, journalisme, presse
22 février 2008
Un sport de morrons?
« Ce qui m'amène à cette question douloureuse : cout'donc, le hockey serait-il un sport de morrons? » (Pierre Foglia.)
Le mot anglais* a été choisi pour des raisons stylistiques, mais cela ne dispense pas d'en vérifier l'orthographe. Mes dictionnaires donnent moron, avec un seul r :
Ce moron a laissé brûler les marrons.
Line Gingras
Québec
* Moron peut se traduire par idiot, crétin, débile, taré. (Source : Robert & Collins Super Senior.)
« Une question douloureuse » : http://www.cyberpresse.ca/article/20080221/CPOPINIONS05/802210840/6750/CPOPINIONS05
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21 février 2008
Flirter les journalistes
« On adoooooooore les journalistes quand on a besoin d'eux [...] on les courtise, on les flirte... » (Richard Martineau.)
D'après le Petit Robert, le Multidictionnaire, le Lexis et le Trésor de la langue française informatisé, flirter s'emploie uniquement comme intransitif. Ce verbe n'a donc jamais de complément d'objet direct :
Ce député flirte avec l'opposition. (Multidictionnaire.)
La Chine flirte avec les États-Unis. (Lexis.)
... je n'aime pas les catholiques [...] qui flirtent avec la Sorbonne... (Péguy, dans le Trésor.)
Il aurait fallu écrire :
... on les courtise, on flirte avec eux...
Line Gingras
Québec
« L'âge des ténèbres » : http://martineau.blogue.canoe.ca/2008/02/20/l_age_des_ten...
05:30 Publié dans Cultiver le doute | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : langue française, grammaire, syntaxe, journalisme
18 février 2008
Des chemises brunes pâles
« ... chaque fois que j’aborde la question de l’islam, quelques chemises brunes pâles sortent de leurs cavernes. » (Patrick Lagacé.)
D'après ce que je vois dans le Petit Robert, le Multidictionnaire et le Hanse-Blampain, les adjectifs de couleur, lorsqu'ils sont composés de plusieurs mots, restent invariables :
Elle portait des gants rose pâle.
Le petit Jacob a les yeux gris clair.
L'eau était devenue vert foncé.
... quelques chemises brun pâle sortent de leurs cavernes.
Cette question n'est pas visée par les rectifications de l'orthographe.
Line Gingras
Québec
« Musulmans : tous dans le même Airbus détourné... » : http://blogues.cyberpresse.ca/lagace/?p=70720907
05:04 Publié dans Cultiver le doute | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : langue française, grammaire, orthographe, journalisme
12 février 2008
Citoyen privé
« En outre, M. Lavoie a dit que cet épisode est survenu après le départ de M. Mulroney de la vie publique. "Ce qu'il a fait à titre de citoyen privé, dans la mesure où c'est légal, ça ne regarde personne" ("nobody's goddam business"). » (Hélène Buzzetti, citant Luc Lavoie; il semble que M. Lavoie se soit exprimé en anglais.)
Je n'ai pas trouvé de mise en garde contre citoyen privé; mais cette expression ne figure pas non plus dans les dictionnaires généraux que j'ai sous la main. Je pense qu'il faut y voir le calque de private citizen, qui se rend par simple citoyen ou par (simple) particulier (j'ai consulté là-dessus TERMIUM, le Grand dictionnaire terminologique, le Robert & Collins Super Senior et le Meertens). Dans le Petit Robert et le Trésor de la langue française informatisé, l'expression personne privée est d'ailleurs donnée comme synonyme de (simple) particulier ou de simple citoyen.
Souvenons-nous tout de même qu'il n'existe pas de parfaits synonymes : un particulier n'est pas nécessairement citoyen du pays où il habite.
Line Gingras
Québec
« Mulroney s'attire des sarcasmes » : http://www.ledevoir.com/2007/11/22/165436.html
20:48 Publié dans Cultiver le doute | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : langue française, anglicisme, journalisme, presse
09 février 2008
Le nouvel orthographe
« Hier, dans La Presse, je lisais que des spécialistes de la langue française veulent qu'on applique le nouvel orthographe en classe. » (Richard Martineau, dans Le Journal de Montréal.)
D'après le Petit Robert, le Multidictionnaire, le Lexis et le Trésor de la langue française informatisé, orthographe est un nom féminin : la nouvelle orthographe.
Line Gingras
Québec
« La vraie réforme » : http://www2.canoe.com/infos/chroniques/richardmartineau/a...
23:55 Publié dans Cultiver le doute | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : langue française, journalisme, presse, médias
30 janvier 2008
Infliger une peine contre quelqu'un
« Même si le juge Claude Leblond a infligé une peine d'emprisonnement contre Vincent Lacroix, la saga Norbourg n'est pas nécessairement terminée... » (François Desjardins.)
Marie-Éva de Villers signale que le verbe infliger « se construit avec la préposition à ». Tous les exemples que j'ai vus dans les dictionnaires généraux confirment cet avis. En voici quelques-uns :
Infliger un châtiment, une sanction, une peine à quelqu'un. (Petit Robert.)
Infliger une correction à un enfant désobéissant. (Lexis.)
C'est le châtiment infligé aux garces qui troublent la paix des ménages. (Vailland, dans le Lexis.)
L'église [...] a subi cette espèce de dévastation soigneuse, méthodique et vernissée que le protestantisme inflige aux églises gothiques. (Hugo, dans le Trésor de la langue française informatisé.)
L'oubli et le silence sont la punition qu'on inflige à ce qu'on a trouvé laid ou commun. (Renan, dans le Petit Robert.)
Il fallait écrire :
Même si le juge Claude Leblond a infligé une peine d'emprisonnement à Vincent Lacroix...
Line Gingras
Québec
« La saga ne s'achève pas avec Lacroix » : http://www.ledevoir.com/2008/01/30/173894.html
23:55 Publié dans Cultiver le doute | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : langue française, grammaire, syntaxe, journalisme
29 janvier 2008
Dilemne ou dilemme?
« Le dilemne de Stéphane Dion » (Titre d'un billet de Michel Vastel.)
Ainsi que je l'ai déjà fait observer, on écrit indemne, mais dilemme :
La culpabilité de Dreyfus, ou bien l'infamie de l'état-major : voilà dans quel dilemme imbécile on a enfermé ces officiers. (Martin du Gard, dans le Petit Robert.)
* * * * *
Je rangerais l'attitude partisane et les graves problèmes de fonctionnement parmi les défauts.« Le temps passant, les qualités s'estompent et les défauts de ce gouvernement apparaissent. Parmi celles-là, il y a non seulement l'attitude partisane qu'il adopte sans cesse mais aussi de graves problèmes de fonctionnement. » (Bernard Descôteaux.)
Line Gingras
Québec
http://blogues.lactualite.com/vastel/?p=110
« Astuces conservatrices » : http://www.ledevoir.com/2008/01/26/173386.html
23:55 Publié dans Cultiver le doute, On ne se relit jamais trop | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : langue française, orthographe, journalisme, médias
27 janvier 2008
Les adversaires à l'Europe
« Cela étant, autant l'épisode portugais de Brown a contrarié les Britanniques des deux camps, autant la reconnaissance par les chefs d'État présents à Lisbonne a réveillé la fibre des nationalistes et des adversaires à une Europe plus économique que politique. » (Serge Truffaut.)
D'après les exemples que j'ai recueillis, le complément du nom adversaire se construit au moyen de la préposition de :
Les adversaires du matérialisme. (Bergson, dans le Petit Robert.)
Ce sont des adversaires du libre-échange. (Multidictionnaire.)
Quel ordre social ils nous proposent, ces partisans du despotisme et de l'intolérance, ces ennemis des lumières, ces adversaires de l'humanité, quand elle porte le nom de peuple et de nation? (G. de Staël, dans le Trésor de la langue française informatisé.)
Je pense qu'il aurait fallu écrire :
Cela dit, autant l'épisode portugais de Brown a contrarié [...] autant la reconnaissance [...] a réveillé la fibre des nationalistes et des adversaires d'une Europe plus économique que politique.
Line Gingras
Québec
« Sortie à l'anglaise » : http://www.ledevoir.com/2007/12/15/168661.html
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24 janvier 2008
Dommage que...
« Dommage qu'il eut fallu les médias pour rappeler aux premiers gardiens de cette langue leurs devoirs fondamentaux. » (Marie-Andrée Chouinard.)
D'après les résultats de mes recherches, les locutions dommage que et il est dommage que sont suivies du subjonctif; l'emploi de l'indicatif « pour marquer la réalité du fait », précisent Hanse et Blampain, « est très rare aujourd'hui » :
Dommage que vous ne puissiez pas l'attendre. (Petit Robert.)
Il est dommage que vous n'ayez pas pu venir. (Multidictionnaire.)
Dommage qu'il soit arrivé en retard. (Thomas.)
Dommage qu'il pleuve, nous aurions pu faire une promenade. (Girodet.)
Dommage qu'il ait manqué son train! (Colin.)
Dans le cas qui nous occupe, il y aurait lieu de remplacer le passé antérieur de l'indicatif (eut fallu) par un subjonctif passé, et non par un plus-que-parfait du subjonctif (eût fallu), étant donné que les faits évoqués viennent de se produire :
Dommage qu'il ait fallu les médias pour rappeler aux premiers gardiens de cette langue leurs devoirs fondamentaux.
Line Gingras
Québec
« Le français à l'étude » : http://www.ledevoir.com/2008/01/25/173205.html
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15 janvier 2008
Redevable
« Le pire, c'est que l'on ne savait même pas qui blâmer. La ville? L'arrondissement? Les frères Tremblay? Le petit maire Labonté? Dans ce système hyper-décentralisé, personne n'est redevable aux citoyens. » (Lysiane Gagnon, dans La Presse.)
On peut être redevable à quelqu'un d'une somme d'argent, c'est-à-dire la lui devoir :
Être redevable d'une somme à un créancier. (Petit Robert et Hanse-Blampain.)
Les frais généraux avaient tout absorbé et, de plus, Fromont jeune se trouvait redevable envers la caisse de sommes importantes. (A. Daudet, dans le Trésor de la langue française informatisé.)
On peut aussi être redevable à quelqu'un ou à quelque chose « d'une qualité ou d'un avantage que l'on possède grâce à un autre » (Hanse-Blampain) :
Je vous suis redevable de cette gratification, d'avoir intercédé en ma faveur. (Petit Robert.)
Je vous suis redevable de cette initiative. (Multidictionnaire.)
C'est à ses sacrifices que je suis redevable de ma situation. (Hanse-Blampain.)
Vladimir considérait qu'il était redevable de sa vie à mon père. (Triolet, dans le Lexis.)
Ainsi, dans l'hypothèse où le président investi parviendrait à mettre un ministère sur pied, nous serions redevables au parti socialiste de l'existence de ce ministère et de ses actes. (L'Humanité, dans le Trésor.)
Aucun des ouvrages consultés, toutefois, n'admet redevable au sens de tenu de rendre des comptes (que possède l'anglais accountable). Je proposerais :
Le pire, c'est que l'on ne savait même pas qui blâmer. La Ville? L'arrondissement? Les frères Tremblay? Le petit maire Labonté? Dans ce système hyper-décentralisé, personne n'est tenu de rendre des comptes aux citoyens.
Line Gingras
Québec
« Il était une fois 19 roitelets » : http://www.cyberpresse.ca/article/20080108/CPOPINIONS05/8...
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09 janvier 2008
Élu pour un terme
« À leurs yeux, le grand avantage du mode de scrutin actuel est l'alternance qui garantit aux deux grands partis de se partager le pouvoir après deux termes. C'est ce qui a fait que le gouvernement péquiste de Bernard Landry puis celui de Jean Charest ont prêché pour une réforme sans jamais bouger. » (Bernard Descôteaux.)
Pour rendre l'idée de durée, à propos d'une fonction que l'on confie à quelqu'un, on emploie en anglais le mot term ou l'expression term of office. En français, d'après le Multidictionnaire, le Chouinard, le Colpron et le Dagenais, on ne parle pas d'un terme, mais d'un mandat :
Les électeurs de la circonscription ont réélu leur député pour un troisième mandat. (Dagenais.)
* * * * *
Jean Charest n'a jamais dirigé de gouvernement péquiste, bien que la construction de la deuxième phrase de monsieur Descôteaux laisse entendre le contraire. Je verrais deux formulations possibles :
C'est ce qui a fait que le gouvernement de Bernard Landry puis celui de Jean Charest ont prêché pour une réforme sans jamais bouger.
C'est ce qui a fait que le gouvernement péquiste de Bernard Landry puis le gouvernement libéral de Jean Charest ont prêché pour une réforme sans jamais bouger.
Line Gingras
Québec
« De quoi a-t-on peur? » : http://www.ledevoir.com/2008/01/03/170536.html
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08 janvier 2008
Transports en communs
« Plus précisément, ce sont ces bandes qui prélèvent des taxes aux montants éhontés pour l'utilisation des toilettes, la consommation d'eau, l'usage des transports en communs, etc. » (Serge Truffaut.)
Le Petit Robert, le Multidictionnaire, le Lexis et le Trésor de la langue française informatisé, consultés aux articles « transport » et « commun », ne donnent que la graphie transports en commun :
Utiliser, prendre les transports en commun. (Petit Robert.)
* * * * *
« En un mot, le gouvernement sortant a montré son incapacité, voire son indifférence, à l'amélioration du quotidien de centaines de milliers de sans-grades. »
Son incapacité à l'amélioration? Je proposerais :
... son incapacité d'améliorer le quotidien de centaines de milliers de sans-grades, voire son indifférence à cet égard.
... son incapacité d'améliorer le quotidien de centaines de milliers de sans-grades, voire son indifférence à leur sort.
Line Gingras
Québec
« Le vainqueur battu » : http://www.ledevoir.com/2008/01/08/171022.html
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